La critique et Emilia Dvorianova
«Emilia Dvorianova est un auteur que l’on ne peut pas n’aimer qu’à demi, admirer pour tel ou tel aspect, critiquer pour tel autre. Ceux qui disent du bien de ses textes et ceux qui les rejettent sont tout autant sincères et passionnés dans leur point de vue.»
«L’écriture féminine d’Emilia Dvorianova (…) reflète la lassitude typique de notre fin de siècle face au normes, la maturité paisible par rapport au changement, qui dépasse l’extase infantile de la révolte. C’est le «post» du modernisme, commencé au début de notre siècle.»
Professeur Miléna Kirova, Bulgarie
Avant tout, tels sont les mots de ce roman [PASSION ou la mort d’Alissa]: ils possèdent l’infatigable faculté de se présenter à nous avec un sens, puis un second, un troisième. C’est de leur croisement et de leur accumulation finale tout au long des pages qu’apparaît enfin le «véritable» sens qui englobe tout. Par la musique, le roman acquiert la faculté d’imiter la forme et de jouer avec, de créer un roman possible au 20e siècle, à partir des lois de la musique de Bach, qui date du 18e.» Literatouren vestnik, Bulgarie
«Pour moi, il y a des livres que je qualifierais de lectures reposantes, et des livres qui continuent à vous parler, qui vous ouvrent des mondes nouveaux. Tels sont, par exemple, Madame G. d’Emilia Dvorianova et Eminé de Théodora Dimova.»
Professeur Mikhail Nédeltchev